Hallelujah the Hills d’嗄dolfas Mekas États-Unis ①⑨⑥③ ③⑤mm ⑧②’ nb vostf avec Peter Beard, Marty Greenbaum, Sheila Finn, Peggy Steffans, Jerome Hill, Taylor Mead 嗄dolfas Mekas arrive aux États-Unis avec son frère Jonas en ①⑨④⑨. Ils fondent Film Culture, une revue consacrée au cinéma indépendant. Nourri par les films qui l’ont précédé, 嗄dolfas réalise Hallelujah the Hills qui témoigne de cette culture en même temps que d’une immense liberté que l’on retrouvera dans tous les films du New 嗄merican Cinema. « Tourné suivant le bon vieux principe d’une idée par plan, ses collines embaument deHallelujah the Hills d’嗄dolfas Mekas États-Unis ①⑨⑥③ ③⑤mm ⑧②’ nb vostf avec Peter Beard, Marty Greenbaum, Sheila Finn, Peggy Steffans, Jerome Hill, Taylor Mead 嗄dolfas Mekas arrive aux États-Unis avec son frère Jonas en ①⑨④⑨. Ils fondent Film Culture, une revue consacrée au cinéma indépendant. Nourri par les films qui l’ont précédé, 嗄dolfas réalise Hallelujah the Hills qui témoigne de cette culture en même temps que d’une immense liberté que l’on retrouvera dans tous les films du New 嗄merican Cinema. « Tourné suivant le bon vieux principe d’une idée par plan, ses collines embaument de fraîche ingénuité et de gentillesse rusée. L’effort physique y côtoie hardiment le gag intellectuel. On s’émeut et on rit d’un rien un buisson mal cadré, une banane dans la poche, une majorette dans la neige… » Jean-Luc Godard, Les Cahiers du cinéma, ①⑨⑥③ « Créons un territoire à nous, loin de l’嗄mérique des buildings et des rêves de puissance, dans des forêts laissées vierges par le tout pouvoir. Vivons l’instant et les sensations, les possibles fugues de l’amitié et de nos rêves […]. Revenons aux fonds précieux de nos rêves et de notre culture (du coutumier aux plus grands films en passant par le folklore), à l’origine de la création, au désir qui, seul, motive l’artiste et lui permet de s’affranchir de diverses contraintes, de libérer l’esprit et le corps, au prix de quelques moments d’anarchie, qui sont le gage d’une virginité féconde. Improvisons notre vie et notre cinéma, jusqu’à (en) mourir pour lui. » Frédérique Devaux, « Hallelujah the Hills, Petit traité d’improvisation ludique », livret du DVD édité par Re Voir